BONNE ANNEE 2009

Mes bons amis, vous tous qui venez lire mes petites histoires, ceux qui m’écrivent et ceux qui passent, je vous souhaite une bonne et heureuse année 2009.

En ces temps de crise, où les dogmatismes financiers nous ont menés dans le mur, je nous souhaite donc de renouer avec ce que nous sommes, avec l’humain qu’il y a en nous. Je nous souhaite de renouer avec ces idéaux qu’une poignée de peigne-culs pleins aux as se plait à taxer d’utopistes. Et quand bien même ! Plus que jamais, mes amis, soyons irrévérencieux et sincères, vivants et fiers de l'être. Arborons en bandoulière de notre révolte l’humanisme, la culture, la tolérance, la fraternité. Ouvrons les yeux mes amis, balayons le mépris, le conformisme et surtout cette peur irrationnelle qu’ils entretiennent à grands frais pour nous maintenir sous le joug. Oui, ouvrons les yeux : la vie est juste là qui nous attend. Et la vie, ça n’a jamais été le fleuve tranquille qu’on essaie de vous fourguer à longueur de programme. Non, la vie c’est toute autre chose. La vie, c’est forcément violent comme l’amour, la vie c’est le risque, c’est le tout pour le tout. La vie, ça cavale dans les artères, ça crache, ça vibre, ça bouge. Cessons d’attendre placidement la mort sur nos canapés, en nous empiffrant jusqu’à la lie de merdes industrielles. Pensons par nous-mêmes : une fois encore, le système vient de montrer ses limites. Eh bien, osons y voir un peu d’espoir. Cela ne coûte rien et contrairement à ce que l’on tente de nous faire admettre, je reste persuadé que cela peut changer les choses. Un jour ou l’autre, qui sait ?

Bonne année et surtout ne lâchez rien. Je vous embrasse. Laurent.

Comments

[Zerch]

Les cercles de pensée se rejoignent, se croisent, se renforcent. Les solutions existent. Elles sont en chacun de nous, individuelles et collectives.
Auto-réguler, être conscient que l'intérêt de quelques-uns ne peut plus être imposé à la majorité.
On a noté l'échec relatif de la démocratie par la manipulation. L'échec des dictatures. L'échec des théories ultra libérales.
Tu as donné la solution: privilégier l'humain.